Il suffit de sortir de chez soi en décembre pour comprendre : il fait nuit quand on part, nuit quand on rentre. Une lumière grise qui pèse sur le moral, un rythme qui s’alourdit, et partout sur les réseaux la même phrase : “J’ai repris ma vitamine D”. On pourrait croire à une tendance, mais la réalité est plus terre-à-terre : notre corps réagit à la saison.
En bref : En décembre, la synthèse naturelle de vitamine D chute. Beaucoup de femmes compensent pour préserver leur énergie et leur moral, mais la supplémentation n’est jamais automatique : elle dépend de votre mode de vie et de vos besoins réels.
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- Pourquoi la vitamine D devient un sujet en décembre ?
- Faut-il vraiment en prendre ?
- Quels effets ressentent les femmes qui en prennent ?
- Quelles alternatives si l’on ne veut pas de suppléments ?
- Questions fréquentes
- La vitamine D est-elle indispensable en décembre ?
- Faut-il faire un test sanguin avant d’en prendre ?
- Les aliments suffisent-ils en hiver ?
- Luminothérapie ou complément : que choisir ?
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Pourquoi la vitamine D devient un sujet en décembre ?
Parce que la lumière d’hiver est insuffisante pour couvrir nos besoins naturels.
En décembre, l’ensoleillement chute brutalement : journées courtes, météo grise, horaires de travail qui empêchent d’être dehors aux bonnes heures. Résultat : la synthèse de vitamine D peut être divisée par quatre, selon Santé Publique France. Ce manque de lumière agit sur l’énergie, l’humeur et même la motivation quotidienne. C’est pour cela que le sujet refait surface chaque année, amplifié par les réseaux et les discussions entre amies.
Pour mieux traverser cette période, vous pouvez aussi consulter nos conseils dédiés à la fatigue hivernale.
Dans ce contexte, beaucoup de femmes se tournent vers la supplémentation non pas par effet de mode, mais comme un rituel saisonnier pour maintenir un niveau d’énergie cohérent avec leur quotidien.

- Décembre = mois le plus pauvre en UVB en France.
- 80 % de la vitamine D provient de l’exposition solaire.
- 1 Français sur 2 est en déficit entre novembre et mars.
- La supplémentation peut être proposée après un avis médical.
Faut-il vraiment en prendre ?
Pas forcément : cela dépend de votre exposition, de votre mode de vie et de vos besoins réels.
En décembre, beaucoup de femmes ressentent une fatigue accrue, un moral en baisse ou un manque de lumière naturel. Pour certaines, la vitamine D devient un soutien utile ; pour d’autres, ce n’est pas nécessaire. Les recommandations varient selon votre alimentation, votre temps passé dehors et votre état général. Les médecins rappellent qu’un dosage sanguin peut être proposé si vous avez des symptômes persistants.
Chaque situation est différente : celles qui travaillent en intérieur toute la journée n’ont pas les mêmes besoins que celles qui passent du temps dehors. Pour explorer des pistes naturelles, découvrez aussi nos conseils pour soigner sa peau en hiver.

Quels effets ressentent les femmes qui en prennent ?
Principalement une énergie plus stable et une humeur moins fluctuante pendant l’hiver.
Dans les témoignages de lectrices comme dans les consultations médicales, les effets ressentis sont souvent les mêmes : moins de coups de pompe en fin de journée, un moral plus régulier et une sensation de “tenir” l’hiver plus facilement. Certaines notent aussi un meilleur sommeil ou une réduction des petites infections saisonnières, même si ces effets varient énormément d’une personne à l’autre.
Ce retour d’énergie n’est pas magique : il traduit simplement le fait que le corps retrouve un niveau de vitamine D plus cohérent avec ses besoins. Pour renforcer ces effets, explorez aussi notre smoothie booster son énergie naturellement.

Quelles alternatives si l’on ne veut pas de suppléments ?
On peut soutenir son énergie grâce à la lumière, à l’alimentation et à quelques rituels saisonniers.
Si vous préférez éviter les compléments, plusieurs options existent. Dix minutes de lumière extérieure entre 10h et 14h aident déjà beaucoup, même par temps couvert. Une alimentation riche en poissons gras, œufs, champignons ou produits enrichis peut soutenir vos besoins. La luminothérapie est aussi une piste utile pour les personnes sensibles au manque de lumière. Enfin, instaurer un rythme saisonnier – pauses dehors, activité physique légère, boissons chaudes stimulantes – peut réellement améliorer le moral de décembre à février.
Selon votre profil :
– Débordée/fatiguée : privilégiez des rituels courts et réalistes, comme 10 minutes de lumière pendant la pause de midi.
– En transition pro/perso : structurez vos journées avec un rituel “lumière + mouvement” le matin pour stabiliser l’énergie.
– Minimaliste/écolo : appuyez-vous sur la nourriture riche en vitamine D et l’exposition extérieure brève mais régulière.
– Introvertie/créative : si vous restez beaucoup chez vous, une lampe de luminothérapie peut remplacer l’exposition.
Astuce : Placez votre bureau ou votre espace de travail près d’une fenêtre : même un ciel couvert apporte de la lumière utile.
Questions fréquentes
La vitamine D est-elle indispensable en décembre ?
Non, elle n’est pas indispensable pour tout le monde. Cela dépend de votre exposition au soleil, de votre mode de vie et de vos besoins individuels.
Faut-il faire un test sanguin avant d’en prendre ?
Ce n’est pas obligatoire, mais un dosage peut être proposé par un médecin en cas de fatigue persistante, de moral bas ou de symptômes récurrents.
Les aliments suffisent-ils en hiver ?
Ils peuvent aider, mais couvrent rarement tous les besoins entre décembre et février. Cela dépend de votre alimentation et de la fréquence d’exposition extérieure.
Luminothérapie ou complément : que choisir ?
La luminothérapie agit sur la lumière et l’humeur ; la vitamine D agit sur un besoin biologique. Les deux peuvent être complémentaires selon votre profil.
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